Jeter de la nourriture ?

Je lance le débat : pouvez-vous jeter de la nourriture ?
C'est une étape "obligatoire" que j'ai un peu de mal à franchir, j'avoue.

Encore ce midi, je suis sortie m'acheter à manger (8€ tout de même) et j'ai tout mangé même si je n'avais vraiment plus faim. Surtout que j'ai fini par un filet de poulet, et c'est absolument impossible pour moi de jeter de la viande !

Je m'interroge car je viens de lire le dernier poste de Krystel sur le livre du Dr Apfeldorfer, et il en est beaucoup question. Il recommande même de jeter plus qu'on ne mange (dans un passage sur les alimentd tabous et la modération).

J'ai le même problème que toi. Quand j'ai lu le passage d'apfleldorfer j'ai été limite scandalisée. Et ce qui était drôle, c'est qu'après avoir émis l'hypothèse de devoir jeter de la nourriture, il dit: "je sais que je vous ai choqué" et il explique pourquoi il est absolument nécessaire d'en arriver là pour réussir enfin à faire le deuil de nos aliments tabous.
Je sais que je ne le ferai pas, je ne me vois pas jeter de la nourriture inutilement, par contre je pense utiliser cette méthode pour mes sorties au restau. Je me gave toujours car je ne sais pas laisser dans mon assiette, mes enfants et mon mari n'ont aucun scrupule à laisser des mets dans leur assiette quand ils n'ont plus faim (ça m'arrive d'ailleurs de me forcer pour finir leurs plats pour ne pas gâcher! le comble de tout!). Donc, j'ai décidé, lors de ma prochaine sortie de m'obliger à laisser un petit morceau dans mon assiette et de progresser au fur et à mesure. J'avoue que même l'idée d'y penser me perturbe! Mais je sais qu'il faut que je passe par cette étape pour espérer guérir.
D'ailleurs, j'ai eu un peu honte de moi en lisant son livre hier soir car il parle des mamans qui finissent les assiettes de leurs enfants (ce que j'ai fait très souvent) en disant: "vous avez si peu de considération pour votre personne que vous allez jusqu'à remplacer le: vide-ordure!" ça m'a fichu un peu mes boules, mais c'était tellement vrai.
Pour ce qui est de tes repas "sandwichs", j'ai trouvé la solution. Je demande un sachet à la vendeuse et je garde mes restes pour plus tard. De savoir que je ne suis pas obligée de jeter mon sandwich non terminé me rassure et du coup, je ne me force plus.
Bouh! je me rends compte que j'ai un vrai problème avec la nourriture et que je ne suis pas prête de voir le bout du tunnel. Mais le point positif est que j'ai de moins en moins d'aliments tabous (même plus un seul je pense) car je mange de tout sans culpabiliser! seulement chez moi, dès que je sors, c'est la cata!
Allez, courage, on va y arriver petit à petit!

MErci de ta réponse.

C'est vrai qu'en lisant son article j'étais à la fois surprise, et abassourdie par tout le travail qu'il reste à faire.
Typiquement, tout à l'heure, j'ai commencé à manger un petit bout de baguette (prédécoupé) -c'est à dire l'aliment qu'il n'y a jamais eu chez moi et qui est interdit- et bien je l'ai mangé en entier, et sans même y penser, il était hors de question d'en laisser !

Tu vas donc devoir apprendre à faire le deuil de la nourriture et apprendre à laisser!

Je vous souhaite bon courage les filles pour que vous réussisiez à jeter ce qui est en trop.

De mon côté j'ai honte mais c'est plus par gourmandise que je finis toujours mon assiette ...
Il m'arrive même souvent de finir l'assiette de mon chéri ... j'ai honte là mais tant pis, dans le fond je me sens comprise sur ce forum.

Et le seul moyen que j'ai trouvé pour ne pas jeter c'est de ne pas me servir de trop dès le début.

Mais apparemment ce n'est pas la solution et il faut apprendre à jeter, ça parait tellement dur de se dire que d'autres meurent de faim ...

Je vais lire le sujet sur apfeldorfer.

Vous allez y arriver, il y a pleins de solutions je crois avec cette méthode mais c'est surement comme tout, il faut du temps je pense.

Bisous les filles et bonne nuit.

Ou surement bonne journée !

Prenez bien soin de vous.

Es-tu sûre que tu termines toujours ton plat ou celui de ton chéri par gourmandise? Je te pose la question car je croyais cela moi aussi et puis j'ai compris plusieurs choses:
-que oui, je terminais parfois les plats des autres par gourmandise mais lorsque j'avais encore faim (car quand tu n'as plus du tout faim, tu ne prends plus de plaisir à manger donc il n'y a plus de notion de gourmandise puisque la gourmandise, c'est aimé manger par pur plaisir). Et donc si tu as encore faim, il n'y a pas d'abus.
-que finalement la plupart du temps c'est parce que je suis incapable de laisser et que j'ai beau me cacher derrière tous les prétextes du monde (on ne gaspille pas car ça coûte cher, d'autres personnes seraient bien contentes d'avoir ce que j'ai...), la seule raison vient de mon éducation: on doit finir son assiette quoiqu'il arrive pour faire plaisir à sa maman! ne t'a t-on jamais fait: 1 cuillère pour papa, une cuillère pour maman... il s'agit d'un problème affectif, laisser sa nourriture c'est s'opposer à tous les préceptes que t'ont inculqué tes parents, c'est couper le cordon une bonne fois pour toutes et je ne sais pas encore si j'en suis capable.

Bon, là je parle pour moi, peut-être ne vis-tu pas les choses du tout comme moi. Je n'ai pas encore fait la paix avec mon enfance et je me rends compte que je mange souvent sous le coup des émotions. Dès que ça ne va pas, je mange. Chez moi, c'est la nourriture pansement, baume, anti-douleur...
Je crois que j'ai encore un gros travail à faire pour m'en sortir mais m'en rendre compte, c'est déjà un énorme progrès. Je crois qu'il ne faut jamais se voiler la face et se dire qu'on ne mange que pour se nourrir et non pour combler tous les maux qui nous touchent.
Bref, la guérison sera longue et j'espère que ce sera beaucoup plus simple pour toi et toutes les filles du forum!

Waouh ! En fait tu as raison krystel !

Cela m'a soudain fait faire un bon en arrière : je me suis vue, quand ma mère me demandait quelle portion je voulais manger, lui dire stop quand elle me mettait la nourriture dans mon assiette et à chaque fois elle m'en rajouté !
ça arrivait tout le temps, et je n'osais rien dire, pour ne pas aller contre elle, ma mère a toujours été froide et j'avais peur de la contredire.

Moi aussi je mange trop quand je suis triste, contrariée, je me vois depuis des mois le dimanche soir grignoter toute la soirée parce que mon copain va reprendre le travail et que je seraiseule dans la journée mais ça va mieux qu'avant bien que j'ai toujours peur de redéprimer.

Le sentiment de solitude me fait manger parfois un demi pain avec du nutella suivi de 2 yaourts sucrés.

Comme tu dis, il y a beaucoup d'affectif parfois dans notre relation à la nourriture.

Je trouve que ça a tendance à aller mieux car cela m'arrive moins souvent mais ça m'est arrivé encore 3 jours de suite la semaine passée

Comme tu l'as compris krystel, nous devons régler nos "problèmes psy", d'enfance pour ne pas avoir de compulsions.

C'est bien ça que tu voulais dire ?

Si c'est le cas, tu pourrais nous parler de ce que tu as parfois sur le coeur dans en tête à tête.

Tu donnes beaucoup sur ce forum je trouve, n'oublie pas que nous aussi on veut t'aider.

Merci audrey, il faudrait en effet que je pense à vider mon sac mais là, il va y avoir du boulot car tout est compliqué chez moi.

Pour ce qui est de tes "dimanche" déprime, Apfeldorfer en parle dans son bouquin, il explique que ça arrive souvent aux personnes qui ne savent pas vivre par elle-même. Les gens qui travaillent la semaine par exemple n'ont pas le temps de se pencher sur leur petite personne mais le dimanche, c'est différent et ils prennent conscience qu'ils ne sont que des coquilles vides (bon, je schématise) et se retrouver face à soi-même devient très dur. et manger donne la sensation d'exister, on remplit le vide qu'on a en soi. En fait, il faut prendre de l'assurance: l'intérieur doit se mettre à exister davantage, ce qui permet d'être moins dépendant du monde extérieur.
Lorsque ton chéri travaille, il faut que tu t'organises des occupations: soirée beauté: bain, gommage, masque cheveux, visage, massage aux huiles... ou soirée entre copines, sort voir une copine ou invite-la chez toi, ce peut-être une toute autre occupation mais fait en sorte de ne pas rester seule face à ce vide qui t'incite à manger. Alors, tu vas me dire, ça ne va pas résoudre le problème mais tu vas comprendre petit à petit que tu peux exister par toi-même lorsque tu es seule.

Voilà, j'espère avoir su trouver les mots pour t'aider.
Je t'embrasse.

C'est là qu'on se rend compte que la route est longue !

AUjourd'hui, c'est mon 20e jour de "Zermatage", la semaine dernière c'était plutôt la cata, cette semaine je me rattrape mais j'ai l'impression de manger encore trop, et là je me dis "waoh il reste tout ça à accomplir !"...

ça va venir avec le temps, il ne faut pas se mettre la pression sinon tu vas passer d'une compulsion à une autre

C'est sûr que la route est longue mais quand je regarde derrière moi, je me rends compte que ça fait déjà 10 ans que je suis perpétuellement au régime donc je peux bien m'accorder 18 mois pour me libérer de cette emprise.

Coucou les filles

Krystel merci beaucoup pour ton message.

En fait c'est la journée que je me sens seule.
Mon copain travaille pas le soir mais en fait je supporte parfois difficilement la solitude, même si ce n'est que pour l'après midi.
Je déprime car au fond de moi je me dis ça sert à rien cette journée on l'a pas passé ensemble lui et moi.

Donc le dimanche soir je me dis surtout "voilà le week end est passé, on se verra plus" enfin ... ça je me le disais surtout avant, maintenant je me dis plus "on se verrra moins" et j'essaie de me dire que je vais m'occuper.

Je fais un maximum de choses donc ça passe plus vite qu'avant mais la semaine je ne saurai pas expliquer mes compulsions, je les ai vus comme des accès de gourmandise, sans plus.

Mais pour ce que tu dis krsytel, c'est clair que je dois m'occuper, me faire un programme.
En ce moment j'essaie de me faire des amies dans mon département, aux alentours de ma ville surtout.
J'ai passé une annonce sur un site féminin. J'ai eu la réponse d'une femme (34 ans) et donc j'ai répondu à mon tour, j'attends la suite ...
Et je vais aussi m'inscrire à un club de peinture mais je ne pense pas qu'il y aura des filles de mon âge.

Si vous avez des idées pour que je puisse rencontrer des filles pas loin de chez moi et à peu près de mon âge ....
Je suis intimidée par les adultes, comme si je n'avais rien à leur apprendre ... et j'ai pas confiance en moi !

Allez, j'arrête de faire ma bavarde !!

Bisousssssssssssssssssssssss

Spanishguitar, je crois qu'on en ait à peu près au même point dans notre route, notre parcours !

Je sais que je peux encore avoir des compulsions, je vois bien que je mange encore au delà de ma faim mais je crois vraiment en cette façon de voir la nourriture qu'est la méthode zermati.

Allez, on va y arriver !

Faut qu'on continue à bien discuter entre nous

Audrey, il faut que tu apprennes à t'affirmer (ça va venir aussi avec l'âge). Tu n'as pas à t'excuser, tu prends la parole comme chacune d'entre nous et si ton message te paraît trop long, ça n'est pas grave, c'est sûrement que tu avais beaucoup de choses à exprimer. Tu vois bien que je fais aussi de longs messages alors continue à faire "ta bavarde", sur ce forum, on adore ça!

Pour ce qui est des copines, peut-être peux-tu t'inscrire dans un club de sport s'il y en a un près de chez toi. Plus tu vas aller là où il y a du monde, plus tu auras de chance de te faire tes copines. Renseigne-toi aussi sur les associations, ça peut être une bonne idée pour, à la fois t'occuper, et rencontrer du monde.

Merci beaucoup krystel pour ton message, je me sens acceptée ainsi, je peux parler de tout ce que j'ai sur le coeur et ça fait un bien fou de savoir qu'on a un endroit où l'on peut dire son mal être.

Le mal être étant (pour moi du moins) un vrai obstacle pour me sentir en paix avec la nourriture et mincir ...
Je crois qu'on est beaucoup à être dans ce cas vu ce que je lis parfois ici.

Merci d'être là :coeur:

Je suis allée chez la diététicienne, elle m'a confirmé pas mal de choses !
On a parlé des différents régimes et du bien être que cela apporte de se réconcilier avec la nourriture et de pouvoir prendre du plaisir à manger.
C'est vrai que pouvoir manger du chocolat sans culpabiliser et arrêter de me dire "tu as craqué, tu es faible" cela a changé ma vie ! Depuis quelques jours je n'ai presque que du plaisir quand je mange, pendant et après car je ne me sens plus lourde comme avant.

Sinon ma diététicienne m'a dit que j'avais progressé et que c'était normal que tout cela prenne du temps mais que ça irait de mieux en mieux, qu'il fallait surtout écouter sa faim et sa satiété.

Je vais vous en dire plus sur le forum discussion.

Zermattez bien ! :coeur:

Je relance ce sujet.
Jeter les aliments, je pense que je saurai m'y résoudre un jour. Par exemple, maintenant, je peux jeter de la sauce sans la ratrucher lol, idem pour les yaourts.

Au restaurant, bizarrement, aucun soucis! Je peux laisser.
Mais ce qui me parait impossible, c'est d'en laisser quand je suis invitée chez des amis, et que tout le monde a une assiette bien vide, bien brillante !


Je n'ai pas été éduquée comme ça (toujours l'éducation hein !) donc ça me parait infaisable..

Comme quoi les progrès diffèrent d'une personne à l'autre.
J'ai beaucoup de mal au restau. Je trouve que les menus sont excessivement chers (surtout qu'on est 5 avec un seul menu enfant, alors on s'en sort toujours avec 70 € environ! ), je ne parviens pas encore à laisser quelque chose dans mon assiette. C'est pour moi, un peu comme si je jetais l'argent par les fenêtres.
Par contre, chez moi, je n'ai plus de problème de ce coté là, il y a toujours quelqu'un pour finir les restes, sinon je congèle pour une prochaine fois.
Chez les amis, je me lâche toujours. Le fait d'être entourée de monde, de discuter... je mange toujours au-delà de ma faim par contre à présent, je sais dire non lorsqu'on veut me resservir et souvent ça suffit pour limiter les dégats.
Tu peux essayer de limiter en te faisant servir des petites quantités. Et biensûr tu dois apprendre à dire non lorsqu'on te ressert (si tu n'as plus faim biensûr). Et sinon, tu attends que la faim revienne pour manger de nouveau, ça aide à ne pas se prendre trop la tête.

A votre avis, est-ce que ça marcherait si j'enlevais un morceau de mon sandwich / mon mars / un peu de ma ration AVANT de commencer à manger?
Je sens bien que c'est un peu contre-productif, l'idée étant de jeter ce qui est de trop après avoir ressenti le signal de la satiété.

Mais perso, j'ai vraiment le problème de devoir terminer pour ne plus avoir envie de l'aliment et ne pas me sentir frustrée.
J'ai l'impression que mon mars est trop petit si j'en laisse ne serait-ce qu'un dixième à la fin, alors que si j'enlevais cette portion au départ, j'arriverais au bout de mon mars avec la sensation d'avoir comblé mon envie.

Est-ce que ça vaut la peine que j'essaie pour m'habituer à jeter? ou il faut vraiment le faire dans l'autre sens? (euh, désolée, peut-être que la réponse est dans le livre d'Apfeldorfer, mais je ne l'ai pas encore commencé).

Le problème, c'est que, tu vas peut-être manger moins (et encore, ça n'est pas évident que tu ne chercheras pas à manger les restes) mais cela ne va pas "guérir" ta difficulté à en laisser dans ton assiette.

Le but est quand même de parvenir à faire le deuil d'une partie de la nourriture servie.

Maintenant, je dis ça mais finalement si tu parviens à faire le deuil de la nourriture avant d'entamer ta portion...

Fais quand même attention à ne pas te restreindre. Que feras-tu si tu te rends compte qu'à la fin de ton sandwich ou ton mars tu as encore un peu faim? Accepteras-tu de le finir sans arrière pensée (sans penser que tu as craqué et que c'est donc un échec).
Le risque est peut-être de te restreindre inconsciemment car il y aura des jours ou 1 demi sandwich te suffira et d'autres ou même un sandwich entier ne sera pas suffisant.
Malheureusement, je ne sais pas si on est tout à fait capable d'estimer sa faim à vue d'oeil.

Et une dernière chose, dans son livre G. Guevremont explique qu'il ne faut pas réduire les portions en espérant manger moins :
Voici ce qu'elle dit :

"Attention aux fausses petites portions.

Plusieurs personnes constatent qu'en écoutant leur signal de satiété et en mangeant à leur faim durant toute la journée, elles mangent nettement moins qu'avant lors des repas. Or, pour éviter d'avoir à jeter de la nourriture, elles choisissent volontairement de réduire leur portion.

Cette façon d'agir est sournoise.

Le fait d'avoir une portion anormalement petite dans votre assiette peut vous donner l'impression de manger de façon bien raisonnable. Mais la petite portion en question peut quand même être trop généreuse pour vos besoins du moment. Seule la sensation de satiété doit indiquer la fin du repas. Pas la taille d'une portion révisée.

A toi de voir ce qui t'aidera le plus à progresser mais rien ne t'empêche de tenter l'expérience car il n'y a rien de plus efficace que l'expérience.
Et comme ça, tout le monde pourra profiter de tes conclusions

J'allais te répondre que c'était une bonne idée mais j'ai lu la réponse de Krystel et j'avoue que je suis assez d'accord avec elle. commence peut-être par des touts petits morceaux.

Bisous

Merci Krystel pour toutes ces infos!!!

Ce que tu écris correspond un peu à mon ressenti... Je me disais aussi que ça pouvait être risqué d'arriver au bout de mon sandwich et de constater que j'ai encore faim...

Pas mal l'extrait du bouquin... Effectivement, la petite portion peut être trop pour notre faim. Comme tu dis, on ne peut pas se fier à notre oeil pour estimer notre faim.


Bon, il n'y a pas de secret, il faut que je réussisse à m'arrêter à satiété, c'est tout.


Donc je vais travailler là-dessus, encore et encore, tenter de me déprogrammer. Comme dit Nathouille, je vais essayer de commencer avec de tout petits morceaux.


Un grand merci encore!!!

Bisous

:smack: :smack: :smack:

Désolée d'arriver un peu après la bataille.
Je pense que l'avis de Krystel est très juste, et ce qu'il faut c'est justement être capable de ne pas finir son assiette, et non jeter pour jeter.
Mais c'est vrai que c'est très difficile. Pour commencer, tu n'es pas obligée de mettre à la poubelle une grosse part de tes aliments préférés. Procède petit à petit : ne ratruche plus ton pot de yaourt, laisse de la sauce, quelques cuillerées de riz dans ton assiette, etc.

Tu as raison justine, perso j'essuyais tout le temps mon assiette avec du pain mais depuis quelques temps, je ne le fais plus automatiquement.
Mais si j'ai encore un peu de place, je le fais avec plaisir. Le tout est de réussir à s'arrêter à temps et de PERDRE les anciennes habitudes qui nous font faire les choses de façon machinale.