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 Déguster pour bien zermater.

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krystel
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krystel


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MessageSujet: Déguster pour bien zermater.   Déguster pour bien zermater. Icon_minitimeVen 2 Juil 2010 - 21:30

Déguster avec attention permet de remarquer que le plaisir gustatif diminue au fur et à mesure de la consommation. En arrêtant au bon moment, on évite à la fois l’inconfort après le repas et le risque de stocker longtemps sous forme de graisse les calories consommées en excès.

Beaucoup de personnes ne remarquent pas cette diminution du plaisir en mangeant. Elles apprécient l’idée de manger tel aliment qui leur plaît, mais ne dégustent pas l’aliment réel qu’elles mettent dans la bouche. On peut dire qu’elles mangent des idées d’aliments, plus que des aliments réels ! En mangeant de cette façon, le plaisir ne varie pas car c’est un plaisir de l’imagination et non de la réalité des sens. Dans ce cas, on mange souvent trop car les idées ne rassasient pas.

Il s’agit donc de manger en étant attentif à l’évolution du plaisir gustatif. Le fait de remarquer et nommer les sensations que procure l’aliment permet de mieux s’y concentrer.On nous explique depuis quelques dizaines d’années ce qu’il faut "manger équilibré". Les aliments conseillés et ceux à éviter varient: il faut convenir que la science de la nutrition est encore toute jeune! Malgré cela, on nous conseille de ne pas nous fier à nos désirs alimentaires, nos appétences spontanées, et de faire confiance à des données épidémiologiques, statistiques.

Pourtant, des travaux scientifiques montrent que l’homme reçoit des signaux de son organisme, qui lui indiquent vers quel aliment se tourner pour couvrir ses besoins à un moment donné. On appelle appétits spécifiques ces envies d’aliments précis. Par exemple, si vous avez besoin de calcium et de protéines, vous serez davantage attiré par les fromages, le lait ou les laitages qui contiennent en effet du calcium et des protéines que par des fruits.

Le repas est perçu comme satisfaisant si et seulement si il couvre les besoins nutritionnels (et énergétiques). Même si vous mangez votre chocolat préféré, vous n’en serez pas satisfait si vous aviez envie d’un steak avec des légumes, et vice-versa.

Tant qu’on n’a pas senti cette satisfaction d’avoir couvert ses besoins nutritionnels, on a tendance à continuer à manger, et ce même si le nombre de calories nécessaire a été atteint ou dépassé.
Il est donc important d’être attentif à ses appétences, c'est-à-dire d’être conscient de l’adéquation de l’aliment que l’on mange à ses besoins.

Si ce n’est matériellement pas possible, on consommera le moins possible de ce qui est disponible et qui ne nous convient qu’à moitié, et on réservera sa faim pour le moment où on trouvera un aliment plus adéquat.

Pour avoir conscience de ses besoins, il est cependant nécessaire de ne pas penser de mal de ce dont on aurait envie et besoin de manger, et de ne pas avoir peur de ne plus pouvoir manger d’un aliment qui fait moins envie sur le moment, si on ne profite pas de l’occasion tout de suite. En somme, la restriction cognitive empêche qu’on perçoive correctement ses appétences spécifiques.

Depuis la nuit des temps c’est surtout le PLAISIR qui incite l’homme à manger et qui est l’objectif principal du repas: le plaisir de calmer des sensations désagréables de faim, d’apprécier les sensations agréables, goûts, arômes et textures, qui rappellent parfois des moments agréables ou réconfortants de son histoire personnelle. C’est le plaisir aussi de partager des aliments avec d’autres pour nouer ou entretenir des liens forts avec eux.

Lors du repas, on nourrit à la fois le corps et l’esprit, les sens et les émotions. Le plaisir alimentaire intervient de façon importante dans l’équilibre émotionnel.
L’équilibre émotionnel, qui plus est, semble bien être prioritaire: l’organisme est prêt à sacrifier les équilibres énergétiques et nutritionnels pour le sauvegarder.

Si l’aliment n’est pas satisfaisant d’un point de vue gustatif, ou s’il provoque des émotions négatives (culpabilité de manger un aliment «interdit», peur de grossir, colère de ne pas manger autre chose, tristesse du temps passé...), on a tendance à en manger davantage, ou à manger ensuite un aliment plus agréable en bouche même si on n’a plus faim.

C’est un peu comme si on devait atteindre une certaine somme de plaisir et que chaque bouchée participait plus ou moins à l’atteindre: plus il y a de plaisir par bouchée et moins il y a besoin de bouchées. Pour bien apprécier chaque bouchée à sa juste valeur, il s’agit à la fois d’être conscient du plaisir procuré par l’aliment et de s’accorder le droit de l’éprouver.

Comme pour les appétits spécifiques, il s’agit de se rendre compte le plus rapidement possible si l’aliment ne nous procure guère de plaisir. On peut alors décider de changer d’aliment, ou bien de manger peu et d’attendre de trouver mieux, ou encore manger quand même à satiété calorique. On se consolera alors par un repas suivant plus plaisant !

Respecter ces équilibres est difficile pour beaucoup de personnes pour plusieurs raisons. Tout d’abord notre éducation nous apprend souvent à passer outre nos signaux internes pour nous fier à des critères externes : manger à telle heure, éviter de manger à telle autre, manger ceci à telle heure et cela à telle autre, commencer par ceci et finir par cela, finir son assiette, considérer que tel aliment est une récompense et que manger tel autre en mérite une, préférer manger sans plaisir plutôt que de jeter un aliment.
Il est important pour manger en fonction de ses besoins de remettre en question certains critères pourtant considérés comme immuables.

La restriction cognitive rend également difficile l’adaptation de nos prises alimentaires à nos besoins physiques et émotionnels. Si devant un aliment on pense à la fois du bien (« j’aime cet aliment ») et du mal (« mais il me fera grossir »), le plaisir n’est pas suffisamment au rendez-vous et les quantités sont alors souvent excessives.

Afin de se détourner d’une culpabilité de manger certains aliments, ou de l’angoisse de grossir, et pour pouvoir consommer tout de même les aliments «interdits», certaines personnes tentent de tricher: elles détournent leur attention de ce qu’elles font, par exemple en lisant, ou en regardant la télévision. Mais du coup, elles ne peuvent pas profiter pleinement de ce qu’elles mangent et ont tendance à trop manger…

Des études montrent d’ailleurs que lorsqu’on ne fait pas attention à ce qu’on mange, on mange 30% de plus que si le repas est pris de façon concentrée, c’est à dire sans lecture, télévision ou travail.

Certaines personnes mangent en réponse à des émotions, à des discours intérieurs déplaisants ou dévalorisants, ce qui leur permet d’en amoindrir l’impact (voir Comment ne pas maigrir idiot). Lorsqu’on mange en réponse à une émotion intense et non par faim, on a tendance à manger sans tenir compte du goût et des signaux du corps, à la recherche d’un réconfort qui ne peut souvent pas être apporté par un aliment. Le problème est alors plus psychologique qu’alimentaire. Il est important de comprendre ce qui nous pousse à manger en dehors de la faim, pour trouver des solutions plus appropriées.

La publicité aussi incite à manger des aliments que nous n’aurions pas mangés si on n’en avait pas vanté régulièrement les mérites avec force images de beauté, jeunesse, richesse et bonheur général. Pour résister aux messages publicitaires, plutôt que de s’interdire certains aliments, il s’agit de vérifier s’ils nous procurent réellement le plaisir alimentaire vanté.

Notre environnement ne nous permet pas non plus toujours de manger lorsque nous avons faim et dans de bonnes conditions matérielles et psychologiques. Dans le quotidien, on n’a pas toujours le moyen ou l’envie de changer l’ordre des plats et l’heure des repas, par exemple quand on mange en famille ou dans une cantine ou au restaurant.

Pour profiter de la convivialité, on peut aussi choisir de faire l’impasse sur ses envies spécifiques, partager certains plats dans un ordre qui convient à peu près à tout le monde. Pourquoi s’inquiéter de ces petits accommodements ? Cela ne pose problème que lorsqu’on en vient à sacrifier son plaisir de façon systématique.
est important, pour ne pas manger au-delà de ses besoins, de manger en règle générale en réponse à une faim. Il convient aussi de pouvoir s’arrêter sans regret lorsqu’on a assez mangé par rapport à ses besoins physiques.

Pour cela, il s’agit, lorsqu’on est rassasié, de pouvoir se dire qu’on a mangé ce qui faisait le plus envie et plaisir, et qu’on a été pleinement conscient de ce plaisir. Si on mange des aliments qu’on s’impose, il est difficile de ne pas craquer sur des aliments qu’on aime vraiment, même lorsque la faim a disparu. On se rassasie bien sagement d’un repas sain et équilibré, et poussé par une force irrésistible que beaucoup appellent injustement «la gourmandise», on finit par craquer sur une tablette de chocolat consommée sans faim, avec des émotions négatives.

La vraie gourmandise consisterait plutôt à choisir des aliments qui nous procurent le plus de plaisir possible, à les consommer à un moment où on a suffisamment d’appétit, pour en profiter au maximum. Dans la société de forte abondance alimentaire dans laquelle nous évoluons, autant choisir ce qui nous apporte le meilleur des plaisirs !
Lorsque l’on commence à choisir ses aliments en fonction de son goût, de ses appétences, et non selon des règles diététiques, on se rend compte que beaucoup d’aliments que l’on trouvait très attrayants car très interdits, ne sont pas si bons que ça.
À l’inverse, des aliments « diététiquement corrects » peuvent retrouver leur valeur de plaisir. Certains jours, les haricots verts (avec du persil et une noix de beurre) nous semblent plus délicieux qu’un gâteau, perçu comme trop lourd.

Pour vous aider à trouver l’aliment qui vous fera le plus plaisir, vous pouvez vous poser des questions : avez-vous envie d’un aliment chaud ou froid ? Mou ou croquant ? Fluide ou plus ferme? Salé ou sucré ? Protéique ou glucidique (viande/oeuf ou féculent/pain) ? Cru ou cuit ? Epicé/corsé ou doux ? D’un arôme particulier (chocolat, fromage, fruité..)? Gras ou maigre ? Sec ou juteux ? Léger ou consistant ? On peut continuer la recherche une fois qu’on a trouvé l’aliment pour affiner encore si c’est possible : quelle marque, quelle variété, quelle pâtisserie, quel traiteur…
Lorsque vous aurez répondu à toutes ces questions, vous aurez une idée plus précise de ce qu’il vous faut pour répondre au mieux à votre faim, et vous limiterez au maximum la tentation de continuer à manger après être rassasié.

Le fait de se poser toutes ces questions en cas d’envie non associée à une faim permet de se rendre compte parfois qu’aucun aliment ne convient vraiment. On prend alors conscience que ce n’est pas vraiment de nourriture qu’on a envie, qu’on a besoin, que la nourriture n’est là que pour masquer d’autres problèmes.
Si on trouve un aliment qui fait très envie, il s’agit de bien le déguster en s’accordant pleinement ce plaisir. Si ces situations se présentent souvent, l’idéal est bien sûr de travailler à réagir de façon plus appropriée qu’avec la nourriture lorsque les émotions nous envahissent.

Se demander ce qu’on a envie de manger permet aussi de prendre l’habitude d’avoir un discours amical et respectueux avec soi-même contrairement à ce qui se passe quand on essaie de se restreindre. Cette façon de se parler aide à se sentir mieux dans d’autres domaines aussi.

Pour faciliter les choix, il est également très utile de connaître ses aliments réconfortants personnels en fonction de ses goûts et son histoire. Ceux qui nous rappellent de bons moments sont pour nous de précieux alliés pour nous ressourcer avec bonne conscience.

Vous pouvez essayer d’en dresser la liste et vous demander à quelle fréquence vous vous accordez ces aliments si efficaces pour vous faire du bien. Le fait de faire une telle liste permet aussi de se rendre compte combien il est difficile de choisir et donc combien vous avez d’occasions de vous faire du bien en mangeant.
Cette connaissance aide à s’arrêter lorsqu’on a assez mangé en pensant à toutes les autres bonnes choses qu’on pourra manger tout au long de sa vie.

On n’a pas besoin de faire de provisions de plaisir en mangeant davantage d'un aliment qu'on aime. Dans ce cas nous ferons plutôt des provisions d’énergie sous forme de graisse. Si l’on veut «stocker du plaisir», c’est en insistant sur le plaisir sensoriel, en le verbalisant, et en le mémorisant.
Les madeleines, quel plaisir, mais une seule suffit pour évoquer un monde.


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MessageSujet: Re: Déguster pour bien zermater.   Déguster pour bien zermater. Icon_minitimeSam 3 Juil 2010 - 9:02

Merci Krystel d'avoir remis ce texte ici. Il m'a personnellement beaucoup aidé.
Avant je mangeais, comme il dit, des idées d'aliments en essayant de faire attention à mes sensations de ventre, mais celles-ci ne pouvaient pas être corrects puisque les signaux du cerveau ne pouvait pas fonctionner. Donc soit je m'arrêtais à ce que je croyais être la satiété et j'avais faim deux heures plus tard, soit je mangeais trop. Mais maintenant que je fais attention au goût, je n'ai plus ces problèmes. Une dernière bouchée peut me sembler inmangeable parce que vraiment plus bonne alors je laisse sans difficulté. De même, si un plat me déçoit, je ne vais pas au bout. Et surtout quel plaisir de manger un truc bon quand on vraiment faim...

Bisous à toutes
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MessageSujet: Re: Déguster pour bien zermater.   Déguster pour bien zermater. Icon_minitimeDim 11 Juil 2010 - 21:40

Hum ça m'interpelle tout ce qui est écrit ici, fianlement ça répond un peu à ma question que j'ai posé au post suivant: je me rends compte que moi aussi je cherche la satiété au niveau du ventre (disparition de la faiim) et non pas au niveau du goût!! la satiété est donc au niveau du goût ?mais par contre la faim elle se resssent au niveau du ventre non? scratch
c'est vrai qu'en me concentrant sur mon ventre et la disparition de la faim je me rends compte que je me déconnecte de ce que je mange mais qd je me concentre sur le goût il m'arrive souvent d'être rassasié gustativement alors que mon corps a encore faim....
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MessageSujet: Re: Déguster pour bien zermater.   Déguster pour bien zermater. Icon_minitimeLun 12 Juil 2010 - 7:43

Tes sensations vont se mettre en place petit à petit et vont finir par s'accorder parfaitement.

Et une chose, tu peux tout à fait ne plus avoir faim d'un plat mais avoir faim d'autre chose. Lorsque tu manges un plat, tu peux sentir que tu n'as plus faim de ce plat mais ton corps t'envoie le signal qu'il a encore faim et cela veut juste dire que tu peux passer au dessert en laissant les quelques bouchées de ton plat.

Le goût s'estompe mais la faim est là pour que tu puisses apprécier ton dessert.

Je ne sais pas si c'est très clair scratch

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MessageSujet: Re: Déguster pour bien zermater.   Déguster pour bien zermater. Icon_minitimeLun 12 Juil 2010 - 8:24

Oui Krystel a raison.
"a satiété est donc au niveau du goût ?mais par contre la faim elle se resssent au niveau du ventre non?"

Le goût est un indice que le cerveau nous donne pour dire que le corps a faim. Les deux sensations doivent donc s'accorder, mais comme dit Krystel, le corps peut avoir envie d'autre chose donc le cerveau nous envoie le signal que l'aliment que nous mangeons n'est plus bon pour que nous passions à autre chose.
Par contre, si tu ressens encore une légère sensation de faim mais que tu n'as plus envie de rien, attends quelques minutes et tu vas voir la sensation de faim va s'estomper toute seule.

Bisous
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MessageSujet: Re: Déguster pour bien zermater.   Déguster pour bien zermater. Icon_minitimeLun 12 Juil 2010 - 9:23

Merci Krystel pour ce post très intéressant !

Même pendant mes meilleures heures de zermatage, je n'ai jamais réussi à manger seule sans lire un magazine. Je crois qu'il va falloir que je travaille là-dessus !
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MessageSujet: Re: Déguster pour bien zermater.   Déguster pour bien zermater. Icon_minitimeLun 12 Juil 2010 - 19:54

oui étonnamment la situation qui me pose problème est de ressentir encore de la faim alors que je suis rassasiée gustativement ou plutôt que je n'ai plus rien envie de manger chez moi, je pense que ce décalage cache qqc...je sais que je n'aime pas trop me faire des gros repas seul (entrée plat déssert fromage) je vis ça un peu comme du gâchis car j'aurais aimé le partager mais dés fois ma faim est telle que je mange bcp ou que j'ai envie de qqc de spécial mais de le mânger seul je trouve que c'est gâché: c'est comme les désserts je ne suis pas trés sucré en général alors je refuse souvent d'en prendre au resto ou chez des amis alors q j'aurais aimé leur faire plaisir et partagé avec eux mais q je n'aime pas alors qd c'est le jour où je passe devant le boulangerie et que pour une fois ça me tente, je suis un peu frustré d'en avoir envie un jour où je suis seule...Je me rends compte en écrivant tout ça que de ne pas manger comme mange les autres me gêne, de refuser un plat que l'on m'offre aussi, c'est un peu comme si je loopais qqc que les autres peuvent partager et que je suis exclus car je n'aime pas trop... :smack: :smack:
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MessageSujet: Re: Déguster pour bien zermater.   Déguster pour bien zermater. Icon_minitimeLun 19 Juil 2010 - 5:58

Merci beaucoup pour ce post très intéressant : en effet, on se penche parfois trop sur notre rassasiement au niveau du ventre. J'ai tenté de mettre en application hier ce que tu as marqué et effectivement, j'ai appris beaucoup : je n'avais pas beaucoup mangé au déjeuner donc je pouvais enfin m'accorder mon dessert préféré : un magnum :langue: et bien surprise !!! avant même d'avoir mangé la moitié, je n'avaisplus faim (et/ou envie ) affraid mais comment est-ce possible ça ? Déguster pour bien zermater. 2740267185 cependant, je n'ai pas pu jetter le reste Embarassed ça, ça sera un autre exercice ...
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MessageSujet: Re: Déguster pour bien zermater.   Déguster pour bien zermater. Icon_minitimeMer 4 Aoû 2010 - 12:45

Plusieurs jours que j'essaye de trouver quand je suis rassasiée et je n'y arrive pas! 2 repas de suite où je sors en ayant mal au ventre d'avoir trop mangé 😡
Merci donc pour ce post super interessant qu'il va maintenant falloir que je mettent en application! justement je surfer par içi pour trouver une réponse à ce problème :oui:
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MessageSujet: Re: Déguster pour bien zermater.   Déguster pour bien zermater. Icon_minitimeMer 4 Aoû 2010 - 12:55

C'est normal, pour beaucoup d'entre nous, c'est ce qui prend le plus de temps... Perso, je ne crois toujours pas l'avoir trouvé, après plus de 3 mois de zermatage pale
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MessageSujet: Re: Déguster pour bien zermater.   Déguster pour bien zermater. Icon_minitimeDim 8 Aoû 2010 - 15:43

JE trouve aussi qu'il y a une grande différence entre sentir la satiété et la respecter.

Le second cas peut être aussi difficile que le premier :(

M'enfin, rome ne s'est pas contruites en un jour. Je construirai un empire par ma persévérance. :haha:
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MessageSujet: Re: Déguster pour bien zermater.   Déguster pour bien zermater. Icon_minitime

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